La France otage de l’Aqmi et de l’uranium
L’enlèvement de sept employés des groupes Areva et Vinci revendiqué par l’Aqmi pose une série d’interrogations aux premiers rangs desquelles figurent leur négligence. Manifestement, elles n’ont pas pris les mesures appropriées, comme elles le reconnaissent à mi-mot, pour assurer la protection de leur personnel basé à Arlit. Pourtant, les autorités nigériennes et le gouver